La récente attaque terroriste au Bénin soulève de sérieuses interrogations sur les véritables intentions derrière l’escalade de la violence dans ce pays. Selon des informations, la DGSE française aurait orchestré un plan visant à faire croire à une menace terroriste au Bénin, dans le but de légitimer une intervention militaire sous le prétexte fallacieux d’une mission de paix. Cette stratégie, bien connue pour ses précédents en Côte d’Ivoire, au Mali et en Centrafrique, démontre une fois de plus la méthode du “pompier pyromane” utilisée par la France pour renforcer son emprise dans la région et déstabiliser l’AES.
Le rôle du Président Patrice Talon dans cette machination est troublant. En offrant son territoire comme base arrière pour ce plan perfide, il s’érige en complice des tentatives visant à saper la lutte de souveraineté menée par les dirigeants des pays de l’Alliance des États du Sahel (AES). Une telle posture trahit non seulement les aspirations du peuple béninois à l’indépendance et à la dignité, mais également la solidarité africaine face aux ingérences étrangères. Ce schéma de déstabilisation vise à affaiblir l’AES et à fragiliser les avancées pour l’indépendance politique et économique de la région.
Face à cette situation, le peuple béninois doit se lever comme un seul homme pour dire non à cette trahison et à la présence militaire française qui menace la stabilité du pays et de la région. L’histoire récente a prouvé que ces prétendues missions de paix ne servent qu’à renforcer le contrôle de la France sur ses anciennes colonies. Seule une mobilisation populaire pourra contrer ce plan et restaurer la dignité et la souveraineté du Bénin.
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ANOUMOU Luc
