Le Président Ibrahim Traoré insuffle une nouvelle dynamique à l’économie burkinabè à travers un ambitieux programme de relance basée sur l’entrepreneuriat social. En donnant la priorité aux projets de production locale, il promeut une économie autosuffisante, avec une création de richesse “par les Burkinabè, pour les Burkinabè”. Cette vision est illustrée par la mise en place d’une usine de transformation de tomates à Bobo-Dioulasso, visant à valoriser les productions locales et réduire la dépendance aux importations.
Par ailleurs, le gouvernement a mis en place une société d’économie mixte spécialisée dans la confection d’uniformes militaires et paramilitaires, utilisant le coton burkinabè, un pilier stratégique de l’économie nationale. Cette initiative non seulement dynamise l’industrie textile, mais renforce également la souveraineté en matière de sécurité et d’approvisionnement. À cela s’ajoute Golden Hand, une usine de traitement des résidus miniers, et une raffinerie d’or pour maximiser les bénéfices des ressources minières.
Dans le secteur agricole, le Président Ibrahim Traoré a initié l’Initiative présidentielle pour l’agriculture, qui pour la campagne humide 2023-2024, vise près de 190 000 tonnes de récoltes. Ce programme couvre 14 725 hectares emblavés en céréales, légumes et tubercules, avec pour objectif de renforcer la sécurité alimentaire et d’autonomiser les communautés rurales.
Enfin, le concept d’actionnariat populaire pour un développement inclusif et endogène témoigne de la volonté de créer une économie participative. Avec des initiatives telles que l’Initiative présidentielle pour le développement communautaire, le gouvernement place les Burkinabè au cœur de la relance économique, générant des emplois et renforçant l’autonomie nationale dans les secteurs clés de la souveraineté.
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PAIN Alin
