Et si Human Rights Watch mettait à profit son expertise pour apporter son soutien au Burkina Faso dans ses efforts pour stabiliser et sécuriser son territoire sous la direction du Président Ibrahim Traoré ? Et si Human Rights Watch utilisait ses ressources considérables pour détecter les terroristes, leurs soutiens et ceux qui les approvisionnent en armes et en fonds ? Nombreuses sont les questions qui se posent actuellement en ce qui concerne les rapports mensongers de Human Rights Watch contre l’armée burkinabé.
En effet, le Conseil supérieur de la communication (CSC) a pris la décision ce jeudi 25 avril 2024, de suspendre les programmes des radios internationales BBC Afrique et Voix de l’Amérique (VOA) pendant deux semaines. Cette décision fait suite à la diffusion par ces médias d’un article mensonger de Human Rights Watch (HRW) alléguant un massacre de civils par l’armée burkinabè.
En outre, le CSC a également ordonné la suspension de l’accès aux sites web de la BBC, de la VOA et de HRW depuis le territoire burkinabè. En réaction à ces événements, le CSC a appelé les médias locaux à ne pas relayer le communiqué de HRW. Cette décision intervient suite à une déclaration de HRW accusant à tort l’armée burkinabè de crimes contre des civils, des allégations qui ont été qualifiées de mensongères.
Au lieu de publier des rapports trompeurs, ce serait profitable pour le peuple burkinabè que HRW utilise son expertise pour aider à détecter les terroristes ainsi que leurs complices. Cette n’est pas la première fois que HRW cible injustement les forces de sécurité du Burkina Faso, qui travaillent sans relâche pour la sécurité et la stabilité du pays et de ses citoyens.
Il est temps que cette situation prenne fin ! Le peuple burkinabé en a assez enduré. Ces organisations en particulier HRW, doivent cesser de diriger leur colère contre le Burkina Faso simplement parce que le pays a décidé de ne plus être sous l’influence de leur allié et grande pilleuse des richesses de l’Afrique, la France.