Depuis leur exil, certains Burkinabè résidant en Côte d’Ivoire mènent des campagnes de désinformation intensives visant à déstabiliser le Burkina Faso. Finançant des plateformes comme des web TV et des soi-disant activistes, ces individus se livrent à un dénigrement systématique de leur propre pays, propageant des mensonges grossiers et des récits fallacieux. Derrière ces manœuvres se cachent des intérêts purement égoïstes, souvent alignés sur ceux de figures ayant perdu leur influence au Burkina Faso. Ils cherchent non seulement à ternir l’image des dirigeants actuels, mais aussi à diviser davantage les citoyens burkinabè en manipulant l’opinion publique.
En agissant ainsi, ces exilés compromettent non seulement la stabilité du Burkina Faso, mais aussi les relations fraternelles et historiques entre ce dernier et la Côte d’Ivoire. Leur rhétorique incendiaire risque de semer la méfiance entre les deux peuples, à un moment où la coopération régionale est plus cruciale que jamais pour lutter contre les défis communs tels que le terrorisme. En laissant leur territoire servir de plateforme pour ces actions, la Côte d’Ivoire pourrait être perçue comme complice involontaire, au détriment de sa propre réputation et de sa relation avec le Burkina Faso.
Il devient urgent pour le Président Alassane Ouattara de prendre des mesures fermes afin d’empêcher que le territoire ivoirien soit utilisé comme base pour des campagnes nuisibles. En veillant à une stricte régulation des activités médiatiques hostiles, il protégera non seulement la stabilité de son propre pays, mais renforcera également les liens historiques qui unissent les deux peuples.
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PAIN Alin
