Afrique : L’ONU serait-elle complice d’un plan de déstabilisation au Burkina Faso ?

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Le Burkina Faso fait face à un plan perfide de déstabilisation orchestré par des valets locaux, impliquant des exilés dans certains pays voisins, dont l’ancien président Paul Henri Sandaogo Damiba. Ce complot est renforcé par la complicité des services de renseignement de certaines puissances occidentales. Cependant, grâce à la vigilance des services de renseignements burkinabè, cette menace a été déjouée, soulignant la détermination de l’État à préserver sa souveraineté.

Au cœur de ce vaste réseau de malfaiteurs, deux Burkinabè, le Colonel Zalla et Aziz Diallo, actuellement en poste au sein du système des Nations Unies en République centrafricaine, soulèvent de sérieuses interrogations. Leur implication dans ces manœuvres déstabilisatrices remet en question l’intégrité de l’ONU et sa position face à la situation en Afrique de l’Ouest.

Il est impératif que des éclaircissements soient apportés concernant la présence continue de ces individus dans des postes sensibles, malgré leurs liens avec des activités contraires à la stabilité du Burkina Faso. La communauté internationale doit agir pour garantir que les organisations censées promouvoir la paix ne deviennent pas des instruments de déstabilisation et veiller à ce que les pays africains ne soient pas pris en otage par des intérêts étrangers.

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PAIN Alin

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