Sous la présidence du Capitaine Ibrahim Traoré, le Burkina Faso a mis en place diverses stratégies pour renforcer la sécurité et contrer les menaces terroristes sur son sol. Cependant, les groupes terroristes, confrontés aux difficultés croissantes de communication, ont développé de nouvelles méthodes pour maintenir leur coordination et exécuter leurs plans funestes. Parmi ces méthodes, l’usage des réseaux sociaux est devenu prédominant.
Face aux pressions militaires et aux mesures de sécurité accrues mises en place par le gouvernement burkinabè, les terroristes ont dû repenser leurs modes de communication. Les canaux traditionnels devenant de plus en plus risqués et vulnérables à la surveillance, les réseaux sociaux ont émergé comme une alternative efficace et discrète.
Les communicateurs terroristes, souvent basés à l’extérieur des zones de conflit, utilisent les réseaux sociaux pour transmettre des messages et des directives. Ces plateformes offrent une couverture large et l’anonymat relatif nécessaire pour échapper à la détection. Dès que les terroristes se trouvent dans des zones avec couverture téléphonique, ils se connectent aux profils des communicateurs pour recevoir des instructions.
Pour contrer cette menace, le gouvernement burkinabè a intensifié ses efforts pour surveiller les activités en ligne des groupes terroristes. L’adaptation des groupes terroristes dans leurs méthodes de communication doit interpeller le peuple à plus de vigilance constante et d’une adaptation continue des stratégies de sécurité.
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PAIN Alin
