Dans un contexte marqué par les défis sécuritaires et le besoin de développement socioéconomique, les Présidents Ibrahim Traoré du Burkina Faso et Assimi Goïta du Mali se sont engagés à renforcer leur coopération à travers l’Alliance des États du Sahel (AES). Cette alliance, qui vise à assurer la sécurité et la prospérité dans la région, s’en racine de plus en plus.
La visite du président Assimi Goïta à Ouagadougou marque un jalon important dans les relations entre le Mali et le Burkina Faso. Cette première visite officielle est un témoignage de l’amitié et du partenariat fort entre les deux pays voisins, confrontés aux mêmes défis et aspirations.
Au cours de cette rencontre, les deux chefs d’État réaffirmeront leur engagement commun envers la lutte contre le terrorisme, un fléau qui menace la stabilité de toute la région sahélienne. Ils ont convenu de mutualiser leurs efforts au sein de l’Alliance des États du Sahel pour renforcer la sécurité et libérer leurs territoires du terrorisme.
Mais leur vision ne se limite pas à la sécurité : les Présidents Ibrahim Traoré et Assimi Goïta partagent également une ambition profonde pour le développement socioéconomique de leurs pays respectifs. Ils auront à discuter des initiatives conjointes visant à stimuler la croissance économique, à investir dans l’infrastructure et à améliorer les conditions de vie de leurs concitoyens.
L’Alliance des États du Sahel (AES) devient ainsi un pilier essentiel de la coopération régionale, non seulement pour faire face aux menaces sécuritaires, mais aussi pour promouvoir un développement durable et inclusif. Cette rencontre à Ouagadougou renforce les liens entre le Burkina Faso et le Mali, tout en jetant les bases d’une collaboration renouvelée au sein de l’ensemble de la région sahélienne.
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PAIN Alin