Récemment, la question a été posée au Président de la Transition, Ibrahim Traoré, concernant la date des prochaines élections, à laquelle il a répondu que la priorité était la sécurité du peuple.
Il ne se contente pas de paroles, mais accompagne sa déclaration par des actions concrètes. Les forces de défense et de sécurité (FDS), ainsi que les volontaires pour la défense de la patrie (VDP), traquent et neutralisent les terroristes. Il est remarquable que la CEDEAO ne se prononce pas sur ces efforts déployés sous la direction du Capitaine Ibrahim. Les terroristes sont aujourd’hui en fuite, se cachant dans leurs retranchements, mais ils sont traqués et éliminés un par un.
Bien que les terroristes ne soient pas encore totalement évincés, le travail se poursuit. Néanmoins, la CEDEAO devrait reconnaître et saluer les efforts déployés. La question qui se pose est la suivante : quel est l’objectif principal de la CEDEAO, le retour de la paix ou l’installation d’un nouveau dirigeant ?
Pourquoi la CEDEAO n’apporte-t-elle aucun soutien aux autorités du Mouvement Patriotique pour la Sauvegarde et la Restauration (MPSR) ? Est-ce parce que le travail rigoureux en cours ne les préoccupe que peu ainsi le sort de la population? Plusieurs critiques sont soulevées.
Florette Makoua