Pendant que le Président de la transition, Ibrahim Traoré, et les Forces de Défense et de Sécurité (FDS) luttent contre le terrorisme et l’impérialisme, des citoyens honnêtes cherchent tant bien que mal à sortir de la détresse, à innover et à chercher des partenariats. Cependant, un groupe de personnes se plaint de la cherté de la vie, comme si c’était un sujet crucial en temps de guerre.
Monsieur Moussa Diallo, le Secrétaire Général de la Confédération Générale du Travail du Burkina (CGT-B), prévoit d’organiser un meeting le 31 octobre pour interpeller le gouvernement concernant les conditions que ce groupe de personnes juge inappropriés.
Le Secrétaire Général de la CGT-B a accordé une interview le 16 octobre, et le même jour, il y a eu une embuscade qui a coûté la vie à des citoyens, selon certaines sources fiables. Il a été allégué que M. Diallo serait financé par certains hommes politiques burkinabé, tandis que d’autres sont en exil, et d’autres encore se trouvent au Burkina, déguisés en agneaux. On prétend que cette embuscade avait pour but de pousser la population à la révolte.
Certains médias français n’ont pas tardé à se saisir de cette annonce de meeting. Il ne faut pas ignorer que les médias français ont parfois des intentions malveillantes pour nuire à leurs ennemis, et c’est ainsi qu’ils considèrent le Président de la transition.
Prêts à tout pour écourter sa transition, ils utilisent tous les moyens possibles. Il semble que cela fasse partie d’un schéma élaboré impliquant des acteurs français, des hommes politiques burkinabé, avec le SG comme pion pour semer le doute dans l’esprit de la population. Cependant, le peuple a compris cette manigance, et il semble que ce que Diallo est sur le point de faire ne soit qu’une simple diversion.
Pascaline Houon
